La douleur est cette expérience sensorielle et émotionnelle désagréable qui prévient l’organisme d’une atteinte afin que celui-ci se protège. Elle a donc habituellement un rôle d’alarme en envoyant des informations depuis les terminaisons nerveuses vers le cerveau. Les récepteurs de la douleur sont appelés nocicepteurs, et sont localisés au niveau de la peau, des muscles, des articulations, des viscères.
La douleur chronique élimine la fonction habituelle de la douleur pour en faire une pathologie en soi, qui va mobiliser le sujet dans son entièreté : physique, cognitif, affectif et comportemental.
Selon les mécanismes physiopathologiques en jeu, l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) distingue :
La douleur diffuse ou sévère est le premier motif de consommation de médicaments et de consultation en thérapies alternatives. C’est en partie paradoxal, mais cela dit bien que de phénomène complexe lié au cerveau qui interprète et subit, rencontre la subjectivité de celui qui vit avec. En effet, il existe autant de douleurs que de personnes car la douleur s’inscrit dans une histoire, dans du familial, dans du rapport au corps, ou même dans du profil psychologique.
Ce sont finalement les conséquences de la douleur plus que la douleur elle-même comme information qui fait souffrir et pousse à consulter : la pénibilité, l’inconfort moral et psychologique, les sensations désagréables,... L’objet du travail en thérapie alternative sera sur ces éléments connexes.
Ainsi, l’apport de l’approche solutionniste expérientielle n’est pas d’enlever la douleur mais de la rendre plus supportable. Que ce soit par l’hypnose ou la sophrologie le thérapeute va accompagner le patient dans une expérience de confort. Ce sera sa façon prioritaire de traiter la douleur.
Dans les deux cas il s’agit de poser un nouveau regard sur la douleur, en la ciblant, en appréhendant ses différents aspects, parfois en l’humanisant : « cette douleur vous diriez quoi d’elle ? », puis de faire venir les expériences de confort les plus ajustées pour la traiter.
Il s’agit donc d’explorer le ressenti dans l’ici et maintenant, en douceur, afin d’entrer en résonance avec le monde interne du client. Aussi, avant de soulager la douleur, le psychopraticien en TSE prend en compte l’écologie de celle-ci pour son client : quel est l’avantage qu’elle soit là ? C’est une manière de restaurer la fonction première de la douleur comme signal que notre corps envoie à notre cerveau pour nous protéger.
Les techniques utilisées vont dépendre du type de douleur et de la singularité du client. Par exemple, la relaxation musculaire pourra être utilisée pour une douleur légère ou discontinue, alors que l’anesthésie hypnotique (qui est davantage une analgésie qu’une véritable anesthésie) pourra être utilisée pour des douleurs plus présentes.
Le thérapeute pourra en outre choisir de changer la signification de la douleur ou la signification de l’apparition de celle-ci, tout comme il pourra provoquer une distorsion perceptuelle ou une substitution de la douleur par une autre sensation.
La douleur, quand elle se chronicise, peut nous faire vivre de l’impuissance et une forme de retrait de la vie sociale : limitation des activités et des stimulations, frustration de ne pas être compris de votre entourage, isolement peuvent constituer un engrenage négatif.
Dans une approche psychanalytique nous pourrions dire que la douleur est un activateur puissant de l’angoisse de mort dans la mesure où quelque chose vient faire effraction dans le corps. Le thérapeute en approche solutionniste va lui être attentif aux sensations associées autant dans le fait de sentir submergé(e), que de ne pas savoir si et quand, la douleur pourra être jugulée.
La douleur est donc une perception, mais est aussi une émotion dessous… Le message que le thérapeute va porter est le suivant : montrez-moi ce que cette expérience fait dans votre corps et traversons-la ensemble et changeons l’expérience sensorielle.
Le sentiment d’impuissance de la douleur persistante et chronique entraîne une forme d’immobilité physique puis psychique. Or, si comme le précise le Dr Guillaume Poupard la pathologie c’est l’immobilité installée, il va être nécessaire d’offrir les conditions d’un ressenti singulier et différent.
Afin que le client vive sa situation autrement et de manière plus satisfaisante, il sera nécessaire d’accompagner toutes les dimensions intrinsèquement liées à l’expérience de vie.
A partir d’un objectif déterminé ensemble, et en utilisant de manière ludique et sécure les états modifiés de conscience, je vous accompagnerais à explorer plus attentivement vos ressentis et à porter un regard nouveau sur ce que vous vivez.
Praticien en hypnose certifié, et formé aux fondamentaux de la technique MOSAÏC ®, je vous guiderais de manière active pour vivre maintenant ce que vous souhaitez vivre demain. Les premiers changements doivent apparaître relativement rapidement, la thérapie visant à les stabiliser dans le temps.
En éclairant votre processus singulier de fonctionnement, en respectant vos valeurs et vos choix, et en établissant des hypothèses de diagnostic, je vous proposerais une stratégie d’intervention à évaluer d’une séance sur l’autre.
N’attendez plus pour provoquer un changement authentique qui vous corresponde. Engagé aujourd’hui comme demain afin que vous retrouviez une expérience corporelle de confort et d’ouverture. Contactez votre sophrologue à Cournon-d'Auvergne au 06 63 54 50 03, au Cendre ou à Cournon d’Auvergne.
Les Lundi et Mercredi de 9h à 19h
Le Mardi de 9h à 13h
Le Jeudi de 13h à 19h
Le Samedi de 14h à 18h30
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Vous êtes fatigué de cette prison de la douleur dans votre corps, votre cœur et votre cerveau... autorisez-vous, car soutenu dans votre expression singulière et porté par des expériences ludiques de thérapies, à domestiquer la douleur et vous libérer de ses chaînes !